Les ménages surendettés : comment la France a changé de philosophie
« Que faire du crédit, sinon le risquer ? »
« Que faire du crédit, sinon le risquer ? »
4 minutes de lecture avec les essentiels du LAB IAE Paris-Sorbonne
Les essentiels ont pour objectif de rendre accessible au plus grand nombre, les résultats de recherche scientifique du LAB IAE Paris-Sorbonne. Leur format court, synthétique et visuel permet de relier le monde académique et le milieu professionnel, favorisant ainsi une compréhension mutuelle des enjeux et des avancées des sciences de gestion dans un contexte en continuelle transformation.
Managers, comités de direction, comités exécutifs, conseils d’administration… on le sait, les femmes restent sous-représentées aux différents niveaux de responsabilités des entreprises, en particulier dans l’industrie technologique.
C’est un adage bien connu des entreprises de toute taille. Pour le consommateur final, nul débat : hormis quelques ventes à crédit, il faut régler ses achats dès le passage en caisse, au comptant, pour repartir avec, sous peine d’être poursuivi pour filouterie. Les délais de paiement n’existent pas la grande majorité du temps. Dans le monde des affaires entre entreprises, les choses sont différentes et plus complexes. Le crédit interentreprises est une pratique ancienne et courante qui concerne des opérations indispensables et récurrentes entre clients et fournisseurs.
Les Français connaissent mal les lois de leur pays. C’est dommage, surtout lorsque celles-ci servent à protéger les personnes en détresse financière qui n’arrivent plus à joindre les deux bouts, les surendettés, de plus en plus nombreux aujourd’hui, face à l’augmentation du coût de la vie.
En cette année électorale, un chiffre publié le 26 mars a fait l’effet d’un électrochoc dans le débat économique et politique. Il s’agit du déficit public de la France qui correspond à la différence entre le total des dépenses publiques et celui des recettes collectées par les impôts et taxes au cours d’une même année.
La Cour des comptes a sévèrement épinglé, dans son dernier rapport, le manque d’implication du secteur bancaire dans la transition énergétique. Pas facile pour les banques de renoncer à financer des activités polluantes mais profitables.
Qui seront les meilleurs financiers de l'IAE Paris-Sorbonne ?